Pendant un chantier de désamiantage, surveiller l’air et vérifier les surfaces traitées est une exigence sanitaire. SODIATEC intervient à Tours pour piloter ces deux étapes. Les pompes de prélèvement statiques mesurent ainsi la concentration ambiante sur huit heures et les pompes opérateurs quantifient l’exposition réelle d’un technicien durant son geste. Les filtres sont ensuite analysés en microscopie pour confirmer que la valeur limite professionnelle de 10 fibres par litre n’est jamais franchie. Si un pic est détecté, le professionnel ajuste immédiatement le confinement et la ventilation. Après le retrait des matériaux, un constat visuel règlementaire s’impose avant la dépose des sas. À l’aide d’une lampe à main, il procède à une inspection minutieuse accompagné d’un relevé photographique. Aucune fibre résiduelle ne doit subsister sur les murs, les sols et les équipements. Un second passage a lieu après le démontage des films pour garantir l’absence de pollution tardive. Le rapport final, signé par l’opérateur certifié SODIATEC, joint les résultats d’empoussièrement et la grille de conformité visuelle. Il sert alors de preuve auprès de la CARSAT, de l’inspection du travail et de la maîtrise d’ouvrage. Cette surveillance rassure les riverains, protège la santé des intervenants et évite les surcoûts d’un retour chantier. Avec SODIATEC, la fin de travaux rime avec sécurité validée et dossier réglementaire complet.
